D.A.M.S a.k.a Fumâce - L'envie d'écrire

Aillé l'envie d'écrire me reviens enfin, ca faisait si longtemps que j’y pensais;
Je dois vous dire que ca fait du bien de temps en temps de recommencer.

Je n’ai jamais expliqué pourquoi j'écris, pourquoi je m’exprime,
Simplement que ca donne liberté à mon esprit, surtout quand il déprime;

Mais si j’avais su, j’aurais commencé avant, éprouvé tous ce que je ressens,
Cette issu qui me permet d’allé de l’avant, prouvé qui je suis réellement.

Mesdames, appelé moi Dams ou Fumace, ici c’est moi qui vous acclame cette dédicace.
D’une âme polygame, car j’aime tous mes écrits qui passent du bruit au calme avec classe.

J’expose tous mes vers sur une feuille qui m’éclaire, comme un orage qui impose son éclaire.
J’explose comme une bombe nucléaire et je m’impose comme le soleil sur la Terre

Quand je m’y mets, vous remarquez que je suis irrésistible et fatal, le contraire d’un homme banal,
Et pour me démarqué, je fais l’impossible, l’original, alors nommé moi le marginal,

Car je suis toujours au bord d’une mine, une mine d’or, enfin je parle de la mine de mon crayon.
Mine de rien je suis fort, forcé de dire que mon corps, est corsé de balle à inspiration.

Inspiré par vous, par les autres et par moi, ainsi je détermine ce que l’ont veux
Ont désire que de la chance, autrement dit terminé tous ce que l’ont peux.

J’aime exprimer mes textes sans vous vexé, ca me viens par répétition.
Je sais exterminer tous mes excès avec succès, ca maintien ma respiration.

Je m’inspire de la chance de savoir lire et écrire, et ainsi dire le meilleur comme le pire.
J’aspire à une tendance qui est de croire à cet empire qui efface ma douleur pour le sourire.

Je fais ca par amour de l'écriture, en vous prouvant que je perdure même si c’est hyper dur.
Comme un peintre et ca peinture, j’écris ces mesures, de mon âme pure et d’une pointe sûr.

Tellement fière que ça me vienne le soir, comme une lueur venue de nulle part,
Que je prends cette lumière comme un espoir, et depuis mon cœur bat pour cet art.

C’est sur le seuil que je trouve de bon mots et de bonnes phases, pour avancer plus loin.
C’est juste une feuille, un stylo et la bonne phrase qui me pousse à ne pas oublier mon chemin.

C’est un savoir acquit, mais il me reste beaucoup à apprendre dans ce que je construis.
Je veux pouvoir conquérir tous ce qu’il reste à prendre tant que je suis en vie.